Brûler des déchets verts peut occasionner des gênes au niveau du voisinage, n’oublions pas que de plus en plus de personnes sont asthmatiques par exemple. Les risques de brûlures et d’incendies sont également bien présents, ainsi que la dangerosité à proximité des axes de communication, à cause de la fumée dégagée.
Cette pratique engendre également une pollution atmosphérique, via la production de gaz à effet de serre, non négligeable. La DREAL Franche-Comté rappelle que le brûlage de 50 kg de végétaux équivaut, en émission de particules, à un trajet de 22 000 km en voiture à essence récente. Ces émissions de particules sont d’autant plus fortes que les végétaux sont verts. Le brûlage de bois sec dans une cheminée émet donc nettement moins de polluants.
Que dit la loi ?
Arrêté portant réglementation du brûlage des déchets végétaux par les particuliers